Le 16 mai est la Journée internationale du vivre-ensemble en paix. C’est une journée décrétée, en 2017, par l’Organisation des Nations Unies pour célébrer nos différences et notre diversité comme solutions inclusives pour vivre en paix dans nos communautés, nos pays et notre monde. C’est aussi l’occasion de mobiliser les efforts nécessaires à la paix, la tolérance, l’inclusion, de l’empathie et de la solidarité.
En cette Journée internationale du vivre-ensemble, Lakay appelle les diverses communautés de Repentigny, du Québec et du Canada à faire de la diversité un pilier de la paix.
« Pour bâtir une société viable, les paliers gouvernementaux doivent prendre davantage de mesures concrètes pour remédier aux inégalités alimentant continuellement les conflits, voire la violence comme moyen d’aboutir à un objectif, quel qu’il soit », propose l’organisme. Ce dernier œuvre pour une société inclusive et adaptée aux différences, quels que soient l’origine, le sexe, ou encore les valeurs religieuses d’une personne.
« Le vivre-ensemble est un processus dynamique visant à favoriser l’inclusion et la culture de paix si nécessaire à notre société. Vivre ainsi demande l’acceptation de nos différences, le respect et la reconnaissance envers autrui », a déclaré le directeur de Lakay.
Pour souligner la Journée internationale du vivre-ensemble en paix, l’organisme communautaire s’est joint à l’Observatoire des profilages pour tenir une conférence sous le thème : « Profilages dans les écoles : comment mieux connaître les expériences des jeunes et des familles ».
Céline Bellot, directrice de l’Observatoire et professeure à l’École de travail social de l’Université de Montréal, va nous entretenir sur la thématique.
L’événement sera présenté et modéré par Nathalie Simon, enseignante au primaire et présidente du Comité des parents racisés de Lanaudière.